Parrainage

DEVENEZ PARRAIN OU MARRAINE D’UNE DE NOS VOITURES

UNE INVITATION À LA PASSION

Devenez marraine ou parrain d’une voiture d’exception et contribuez à préserver un patrimoine automobile unique. Chaque véhicule d’Autoworld raconte une histoire celle de l’innovation, du style et du savoir-faire. En rejoignant notre programme de parrainage, vous participez activement à la transmission de cette passion et de ce patrimoine aux générations futures.

EN QUOI CONSISTE LE PARRAINAGE ?

Parrainer une voiture, c’est adopter symboliquement l’un des joyaux de notre collection. Votre contribution soutient directement son entretien, sa restauration et sa mise en valeur au sein du musée. 

En retour, votre nom sera affiché à côté du véhicule choisi, vous recevrez un certificat officiel, des invitations à des événements exclusifs et des nouvelles régulières de la collection. C’est une façon concrète et personnelle de vous rapprocher du monde fascinant d’Autoworld.

POURQUOI C'EST IMPORTANT

Autoworld n’est pas un musée figé, mais un lieu vivant où la passion de l’automobile continue de s’écrire chaque jour. Grâce à votre soutien, nous pouvons préserver et restaurer des voitures historiques, inspirer les générations futures et faire vivre une collection toujours plus dynamique. Chaque parrain et marraine contribue à faire perdurer l’histoire et la beauté de ces véhicules emblématiques.

COMMENT PARTICIPER

Rien de plus simple : choisissez la voiture qui vous tient à cœur, remplissez le formulaire de parrainage ou contactez notre équipe. Vous recevrez ensuite votre certificat officiel et rejoindrez la communauté des parrains et marraines d’Autoworld. Le parrainage est valable un an et peut être renouvelé.

REJOIGNEZ L'AVENTURE

Faites partie de l’histoire d’Autoworld et contribuez à faire vivre la passion automobile. Devenez marraine ou parrain dès aujourd’hui et aidez-nous à préserver ce patrimoine pour les générations à venir.

LES VOITURES DE NOTRE COLLECTION PARMI LESQUELLES VOUS POUVEZ CHOISIR

AMPHICAR 770 - 1971

Ceci est la plus célèbre des voitures particulières amphibie. Deux hélices assurent la propulsion dans l'eau, tandis que les roues avant font office de gouvernail. La voiture n'est donc pas particulièrement réactive sur l'eau, et n'est guère plus rigoureuse sur route. Le moteur monté à l'arrière est celui de la Triumph Herald, la boîte est développée par Porsche. 3.878 exemplaires ont été produits entre 1961 et 1968.

BELGA RISE BR8 - 1934

Après l'arrêt de la marque française Sizaire Frères en 1928, l'entreprise SEPA de Haren (Bruxelles) en racheta les brevets, et lança en 1929 une nouvelle voiture qui reprenait les suspensions avant indépendantes et le châssis de la marque française. Les moteurs provenaient de différents fournisseurs, Talbot dans le cas présent. Le nom Belga Rise apparaît en 1932. La grille de radiateur et la mascotte valaient aux voitures le surnom de "Rolls-Royce belge". Le plus gros de la production de 1936-37 (39 exemplaires) alla à l'armée belge comme voitures de fonction. La carrosserie est de Vesters & Neirinckx (Bruxelles).

BENTLEY 3L - 4,5L - 1928

Ce châssis Bentley 3 litre à carrosserie Vanden Plas "Speed Model" a été équipé par un spécialiste d'un moteur 4 cylindres 4,5 litres pour la compétition. Ce modèle emblématique est comparable aux voitures avec lesquelles les "Bentley Boys" s'imposèrent au 24 Heures du Mans en 1924, 1927, 1928, 1929 et 1930. D'innombrables répliques ont été – et sont encore – construites.

CADILLAC SERIES 62 ‘STATE LIMOUSINE’ - 1954

Commandée par la famille royale belge comme "voiture de parade" officielle. Elle présente quelques caractéristiques uniques, telles que le siège avant divisé et une poignée en haut du pare-brise. Elle a été utilisée lors de la plupart des événements officiels dans la seconde moitié des années 1950, comme le mariage du prince Albert et Paola le 2 juillet 1959. Mais elle est surtout connue comme la voiture du mariage du couple royal Baudouin et Fabiola le 15 décembre 1960. Un toit spécial en plexi fut fabriqué pour l'occasion par le carrossier bruxellois Vesters & Neirinck.

CADILLAC SERIES 6200 CONVERTIBLE - 1959

La Cadillac de 1959 est connue pour ses ailerons arrière emblématiques, avec deux feux arrière en forme d'ogive. Elle est également dotée d'une nouvelle calandre qui fait référence à la joaillerie. En 1959, la série 62 devient la série 6200. L'équipement de série est très complet : freins électriques, direction assistée, boîte de vitesses automatique, feux de recul, essuie-glaces à deux vitesses et miroir de maquillage. Le modèle décapotable est équipé de vitres électriques et d'un siège réglable dans les deux sens. Elvis Presley chantait d'une « Cadillac rose », et lorsqu'il est parti en tournée dans sa voiture de rêve, une Cadillac Fleetwood Series 60, en 1954, il l'a mise en rose. Depuis lors, une Cadillac rose est invariablement associée au « King ».

CITROËN C3 5HP - 1924

Présenté en 1921, ce modèle de base de la gamme Citroën était proposé au même prix qu'un "cyclecar". Il pesait 550 kg en ordre de marche et sa construction était très simple. Dans ces années-là, les Citroën ne disposaient que de freins sur les roues arrière. La pédale activait un tambour sur la transmission, tandis que le levier agissait sur de petits tambours sur les roues arrière. En 1924, 28.450 exemplaires ont été construits.

DARMONT DS SPÉCIAL - 1927

Produite sous licence de la célèbre marque anglaise Morgan, cette voiture se distingue par son moteur bicylindre Blackburne refroidi par eau et doté d'un double allumage, contrairement aux Morgan qui utilisaient des moteurs refroidis par air de JAP ou Matchless. En revanche, elle ne possède pas de marche arrière.

DE DION BOUTON TYPE G VIS-À-VIS - 1901

Présenté en 1898, ce modèle fut la première voiture dotée d'une marche arrière, et surtout du fameux pont arrière "de Dion", encore utilisé de nos jours. 2.970 exemplaires ont été construits, et celui exposé ici était la propriété personnelle du Comte de Dion. Il affiche une luxueuse carrosserie Rothschild, l'une des plus chères de l'époque.

FN 1500 S SPORT - 1925

En 1925, FN participa pour la première fois à des compétitions en tant que team d'usine. La marque remporta cette année-là la "Coupe du Roi" lors des 24 Heures de Francorchamps, avec une vitesse moyenne de 85 km/h, et termina 3ème du Rallye de Monte Carlo avec Lamarche. On construisit 200 exemplaires de ce modèle sportif 1500, à carrosserie modifiée et à moteur plus conséquent. Le premier propriétaire de celui-ci a toujours prétendu que c'était une des voitures du team victorieux en 1925.

FERRARI TESTAROSSA - 1991

Dessinée par Pininfarina, cette remplaçante de la 512 fit sensation lors de sa sortie. Elle devint une icône des années 80, entre autres en raison de sa présence dans 3 saisons de la série américaine "Miami Vice". Produite entre 1984 et 1996 moyennant de menues modifications, elle a été construite à 9.959 exemplaires, ce qui était énorme pour Ferrari. 85% des exemplaires étaient rouges à intérieur beige.

FIAT 500 D - 1965

Au cours de l'été 1957, Fiat a présenté la nouvelle 500, destinée à réitérer le succès de la Topolino. Ce nouveau modèle intègre les dernières techniques de conception, telles que la structure autoportante de la carrosserie, la suspension indépendante et un moteur arrière refroidi par air, une première pour Fiat. En 1960, environ un mois après le lancement de la 600 D, la 500 D améliorée a été introduite. Sa puissance était augmentée d'environ 1 CV. Entre 1960 et 1965, plus de 640 000 exemplaires de la 500 D ont été produits.

FIAT 509 GASTON LAGAFFE - 1929

Réplique de la fameuse voiture de Gaston Lagaffe, un personnage de bande dessinée créé en 1957 par le dessinateur belge André Franquin. Gaston est l'anti-héros par excellence, et le roi incontesté de la gaffe, vêtu d'un pull vert à col roulé, d'un jean noir à revers et d'espadrilles. Il se déplace dans un vieux tacot jaune et noir délabré. Franquin se serait inspiré de la Fiat 509. Elle donne lieu à de nombreux gags, soit par son délabrement (pannes à répétition, lenteur, pollution…), soit par les améliorations que Gaston tente de lui apporter. Ces inventions mécaniques — comme tant d'autres créations de Lagaffe — finissent souvent en catastrophe. La voiture exposée a participé à deux expositions internationales de la BD.

FONDU CF - 1906

Constructeur de matériel ferroviaire à Vilvorde, Charles Fondu se lança dans l'automobile en 1906. Ceci est l'un de ses premiers exemplaires (châssis n°4). La carrosserie en pitch-pine est de Victor Decunsel (Molenbeek) et la finition est luxueuse, avec verre chanfrené et accessoires en ivoire. Fondu accorda une licence à Russo-Baltique, marque de Lettonie, pays alors membre de l'empire soviétique.

FORD CAPRI GROUP 2 - 1971

Voiture préparée par Ford Motorsport Köln selon les règles FIA Group 2. Accumulait un palmarès impressionnant durant les saisons 1971 et 1972 entre les mains de Gérard Larousse, Jochen Mass, Dieter Glemser et Carlos Soler-Roig avec des victoires au Salzburgring 1971, Paul Ricard 24 h 1971, Madrid 4 h Jarama (en 1971 et 1972) et à Barcelone (Montjuich) 1972. Mais la plus retentissante était sans doute la victoire au 24 h de Spa-Francorchamps en 1971 avec Glemser/Soler-Roig.

LÉON BOLLÉE VOITURETTE - 1896

Léon était un descendant des célèbres Amédée Bollée père et fils, pionniers français de la transmission à vapeur, Léon Bollée a construit des tricycles dès 1985, leur donnant le nom de "voiturette". Ce nom allait ensuite devenir l'appellation générique des petites voitures. Cette 3 roues était surnommée la "tue-belle-mère", car le passager prenait place à l'avant. Sans suspension mais capable d'atteindre 30 km/h, elle était à la fois rapide et dangereuse. Elle décroche les places 1 et 2 au London-Brighton 1896. Notez aussi le petit volant, une innovation pour l'époque.

MAZDA COSMO SERIES II - 1970

La Cosmo était, avec la NSU Ro80, l'une des premières voitures de production à être équipée d'un moteur Wankel à double rotor. Un prototype a été présenté au Salon de l'Automobile de Tokyo en 1964, un mois avant l'introduction de la NSU Spider Wankel. La production de série a commencé en mai 1967. Une deuxième série fut produite entre 1968 et 1972. Elles étaient fabriquées à la main à un rythme d'environ une par jour, pour un total de 1 176 véhicules (343 de la Série I et 833 de la Série II). En 1968, deux Cosmo ont participé à l'une des courses les plus éprouvantes pour prouver la fiabilité du moteur rotatif : le “Marathon de la Route” de 84 heures au Nürburgring. L'une a dû abandonner à cause d’un brins d'essieu après 82 heures. L'autre voiture, conduite par les Belges JP. Ackermans, Y. Deprez et L. Last, a terminé la course à la quatrième place au classement général.

MINERVA TYPE OO - 1921

Ce modèle à carrosserie belge Vanden Plas "Tulipe" était la voiture personnelle du Roi Albert Ier. C'était alors le modèle le plus cher de la gamme Minerva. Le radiateur présente déjà une forme aérodynamique arrondie. Le bouchon de radiateur représente la tête de Minerve, déesse de la guerre. Toutes les variantes de ce bouchon sont l'œuvre du sculpteur Pieter de Soete.

MINERVA SP FIRE TRUCK - 1934

En 1930, la dénomination Auto-Traction disparut des camions Minerva. La marque fit faillite en 1934, mais la production de camions fut relancée en 1935. Ceci est l'un des derniers châssis d'avant la faillite. La carrosserie modifiée est de chez Plas & Mestagh, de Bruxelles. Ce camion de pompiers a été en service de longues années durant au sein de la brigade de Schaerbeek, l'une de 19 communes bruxelloises.

PORSCHE 911 SC POLICE - 1976

En 1976, la Gendarmerie belge passa commande de vingt 911 Targa à carrosserie étroite, mais équipées du très moderne moteur Carrera RS de 210ch. Ces voitures présentent leur propre série de numéro de châssis, ce qui les rend uniques. Les équipements spéciaux étaient un gyrophare, une sirène, une radio CB et un signal Stop. En raison de la puissance, les agents devaient suivre un cours de pilotage, ce qui n'empêcha pas quelques accidents sérieux de se produire. Seules deux de ces voitures sont encore immatriculées aujourd'hui.

RENAULT 16 TX - 1978

Lors de sa sortie en 1965, la R16 révolutionna le monde des berlines avec sa carrosserie en deux volumes 5 portes et un hayon arrière. Le design original est du à Philippe Charbonnaux, qui avait crée le premier bureau de style chez Renault en 1960 avec la sortie de la R8. Le premier modèle était suivi en 1973 de la TS et en 1976 de la TX à boite 5 vitesses , 4 phares à iode, essuie-glace AR, fermeture des portes centralisée etc. La R16 resta en production de 1965 à 1980, et fut produite à 1.851.502 exemplaires.

RENAULT R5 AUTOMATIC - 1983

Lancée en 1972 avec une technique de R4, ceci est l'une des toutes premières "mini-citadines", et la première à pare-chocs en plastique intégrés. Aussi à l'aise en ville que sur autoroute, la R5 fut produite dans différents pays. Celle-ci vient de Vilvoorde, où Renault a construit des voitures de 1935 à 1997. C'est surtout la millionième R5 produite, et elle n'affiche que quelques kilomètres au compteur. Entre 1972 et 1996, 7,3 millions d'exemplaires ont été construits.

TALBOT-MATRA MURENA 1.6 -1981

Cette remplaçante de la Matra Bagheera en reprenait quelques caractéristiques typiques, comme le moteur en position centrale et les 3 places. Ce fut la première voiture à châssis galvanisé. La carrosserie était en polyester renforcé à la fibre de verre. Produite seulement de 1980 à 1983, le modèle ne rencontra guère le succès. C'est en raison de la collaboration avec PSA qu'elle était vendue sous le nom Talbot-Matra. Les moteurs 1.6 ou 2.2 l provenaient de chez Simca.

VANCLEE BUGGY - 1970

En Belgique, Apal et Ritter n’étaient pas les seuls à construire des buggys. À Roulers, Eric Vandewalle et Georges Cleerinckx fabriquaient également des buggys Vanclee dès la fin des années 1960. Le nom de la marque était formé à partir de leurs noms de famille. Le principe restait le même :un châssis de Coccinelle, raccourci ou non, servait de base à une carrosserie en polyester. Les Vanclee se distinguaient par leur grande qualité. Proposés autour de 250.000 francs belges, ils n’étaient pas particulièrement bon marché, mais une version en kit était disponible pour les bricoleurs. En 1977, un petit utilitaire fut ajouté à la gamme : l’Emmet, ou Mungo, basé sur un châssis de Citroën AX. La mode des buggys s’estompant, l’entreprise cessa ses activités à la fin des années 1980.

VIVINUS”DUC” - 1900

Alexis Vivinus était établi à Bruxelles et construisait des bicyclettes vers 1890. Peu de temps après, il devint importateur des automobiles Benz. En 1895, il commence à construire ses propres voitures à Schaerbeek. Sa première voiture était équipée d’un moteur monocylindre, rapidement remplacé par un moteur bicylindre plus performant. En 1907, un moteur à quatre cylindres de sa fabrication fut utilisé pour l’avion biplan des Aéroplanes Voisin. La Vivinus présentée ici fut offerte par le roi Léopold II à la baronne de Vaughan. La carrosserie est de D’Ieteren Frères. La transmission se fait par courroie. La voiture dispose de deux vitesses avant, mais pas de marche arrière.

WILLYS MB JEEP - 1944

La Jeep Willys MB, également produite sous le nom de Ford GPW presque identique, est un petit véhicule tout-terrain utilisé par les Alliés pendant la Seconde Guerre mondiale. Elle a été produite en grand nombre (environ 640 000 exemplaires) par les États-Unis, de 1941 à 1945. Le nom "Jeep" viendrait de l'expression "General Purpose" (usage général), abrégée en GP (prononcé « djip »). Après la guerre, de nombreuses Jeeps furent vendues aux enchères et utilisées dans le monde entier pour les tâches les plus diverses. Cet exemplaire rouge apparaît dans l’album de Tintin «Au pays de l’Or noir ». Dans l’album « Objectif Lune », il s’agit d’un exemplaire bleu.

J.P.W. PROTOTYPE - 1946

Jean-Pierre Wimille was een beroemde Franse piloot. Hij won verschillende GP’s en ook de 24 u van Le Mans in 1937 en 1939. Na lid te zijn geweest van de Franse weerstand, bouwde hij deze kleine auto voor de na-oorlogse tijd, samen met ingenieur M. Viel. Het ontwerp werd getekend door Ph. Charbonneaux en de carrosserie werd gebouwd door Chapron op een buizenchassis met 4 onafhankelijke wielen. De chauffeur zit centraal met aan weerszijden plaats voor een passagier. De motor bevindt zich centraal achteraan. De aerodynamische vorm met een grote plexi voorruit en het kleine ruitje achter is opvallend. De tentoongestelde auto is de eerste van drie die werden gebouwd tussen 1946 en 1948. Wimille verongelukte in 1949 met een Simca-Gordini tijdens de trainingen voor de GP van Argentinië.